À mon avis
Assurer un enseignement équitable et de qualité, et évaluer efficacement l’apprentissage sont des impératifs de cette année universitaire perturbée.
Un professeur passe à l’enseignement en ligne et en découvre les vertus.
Il est probable que le tsunami des travaux de recherche enclenchés par la pandémie de COVID-19 produise son lot de conflits reliés à la confidentialité des données de recherche ou à la propriété intellectuelle.
L’urgence d’un remède contre la COVID-19 a fait avancer les découvertes scientifiques à un rythme accéléré.
Assurons-nous de reconnaître et de soutenir leurs efforts extraordinaires pendant la crise de COVID-19.
Il est impossible d’éliminer la bureaucratie, mais l’application de lignes directrices simples issues de pratiques exemplaires peut vraiment la réduire.
Si un indice h élevé peut en effet être associé à un Nobel, cela ne prouve nullement qu’un indice h peu élevé soit nécessairement associé à un « piètre » chercheur.
Les programmes de beaux-arts sont et resteront des incubateurs essentiels pour les créateurs de demain.
Le Québec vient de connaître un important réveil de sa capacité à agir collectivement : pour coordonner nos efforts, nous avons besoin d’un plan crédible et convaincant, et d’un leadership politique inspiré, sage et clairvoyant, qui sache nous rallier.
Plus que des unités de « soutien », ces centres ont prouvé qu’ils sont essentiels à la mission universitaire.
Pour s’assurer de la santé de nos établissements d’enseignement et, prioritairement, de ceux qui les fréquentent, nous devons faire front commun pour attaquer les défis organisationnels, pédagogiques et technologiques de la rentrée universitaire de l’automne.
De nombreuses universités ont lancé des programmes d’aide à court terme pendant la pandémie, mais des solutions à long terme seront nécessaires pour amener un changement durable.
Pourquoi prendre la parole maintenant et risquer de m’exposer aux horribles commentaires de ceux qui voudront démontrer ma moindre valeur? Parce qu’en ce moment, garder le silence, c’est être complice.
La COVID-19 a rendu le milieu universitaire très réactif, mais la recherche prend du temps.
Si le virus frappe fort le quartier de Montréal-Nord, habité majoritairement par des minorités raciales, c’est en raison du manque de soins et de la pauvreté de la population, résultat de multiples discriminations raciales.
Les stagiaires en recherche sont le moteur de la découverte scientifique et pourtant, ils sont très nombreux à se retrouver dans une situation financière précaire.
Outre le bilan quotidien de l’évolution de la COVID-19, les points de presse des autorités permettent un accès rare aux politiciens et au travail des journalistes.
Les mères ressentent la pression de devoir à la fois travailler et assumer la plupart des tâches parentales.
Pourquoi les universités canadiennes comptent-elles si peu d’administrateurs racisés ou autochtones?
Les candidats qualifiés ne manquent pas. Nous devons simplement décider que la question vaut la peine d’agir.
Un groupe de chercheurs conteste la teneur d’un récent article consacré aux notions d’« auto-autochtonisation » et de « déplacement identitaire ».