À mon avis
Le professeur Jérôme Melançon décrit le quotidien d’un chercheur francophone œuvrant dans un milieu majoritairement anglophone.
Le Québec s’apprête à mettre en œuvre sur les campus la plus grande campagne de sensibilisation et de prévention des violences à caractère sexuel de son histoire. Mais a-t-on les bons outils?
Au-delà des obstacles qu’ils rencontrent, les chercheurs francophones dans les communautés en situation minoritaire jouent un rôle important pour ces milieux de vie.
Prendre conscience du problème est le premier pas vers la guérison.
Au vu des récentes annonces budgétaires, les étudiants canadiens ne seront plus laissés pour compte quant aux séjours d’études à l’étranger.
Modifier notre façon de discuter de la recherche en favoriserait l’excellence en plus de résister à l’hostilité injustifiée qui sévit dans notre milieu.
Le programme B.A.R.K. offre aux étudiants et membres de la communauté de passer du temps avec des chiens thérapeutes.
Seulement le tiers des scientifiques dans le monde sont des femmes, mais cette proportion chute brutalement pour celles issues des pays d’Afrique francophone.
La Magna Charta Universitatum est utilisée aux quatre coins du monde pour formuler, guider et défendre les valeurs universitaires.
La sortie médiatique d’Yves Boisvert contre la chercheuse Manon Bergeron et l’enquête ESSIMU s’appuie sur une vision restreinte de la science.
Nous tendons à nous concentrer sur les droits qui sont associés à la liberté universitaire plutôt que sur la raison pour laquelle elle existe en premier lieu.
J’ai regardé autour de moi, et il m’est alors paru évident que j’étais le seul à ne pas comprendre les instructions.
Est-il raisonnable de prendre de nouvelles résolutions alors que nous manquons déjà de temps? Ou devrions-nous au contraire envisager de prendre des anti-résolutions?
Voici quelques idées favorables à la science, aux compétences et à l’innovation en vue des élections fédérales de l’automne.
Une nouvelle recommandation de l’UNESCO établit des lignes directrices pour les conditions de travail des chercheurs et leurs environnements.
Critiquer les vulgarisateurs nuit à l’application des connaissances et met en péril la planète.
Plutôt que de confier sa planification stratégique à des experts externes, la direction de l’Université de Sherbrooke a pris les rênes du processus et a engagé un dialogue avec les diverses parties prenantes.
L’UOF est l’aboutissement d’une longue lutte de la part de la communauté francophone.
Le gouvernement aurait peut-être réussi à mieux défendre sa position en cherchant à s’entendre avec la nouvelle université au sujet des contraintes budgétaires.
En plus de nous faire perdre du temps, rien n’indique qu’elles ont une réelle influence sur le processus décisionnel.