Politiques
Pour remédier aux inconduites sexuelles dans les Forces armées, l’ancienne juge de la Cour suprême suggère que les cadet.te.s s’inscrivent à des universités civiles.
À l’aube de son deuxième mandat, Mona Nemer nous parle de l’élaboration des mesures de lutte contre la pandémie, du combat contre la désinformation et des avancées du mouvement en faveur de la science ouverte.
Après quatre ans et des milliards de dollars, les supergrappes du gouvernement fédéral commencent à trouver leurs repères, mais elles ont encore besoin de temps.
Que ça leur plaise ou non, les universités canadiennes devront se saisir de la question de la cybersécurité, qui représente actuellement une épée de Damoclès au-dessus de leur tête.
Les allégations d’agression à l’Université Western ont mené à la révision des politiques partout en Ontario, mais quels en seront les effets?
Portrait de la sempiternelle lutte des universités offrant des programmes en français à l’extérieur du Québec.
« Nous devons changer de culture pour que les données, métadonnées et codes bien documentés soient jugés aussi précieux qu’un bon article publié dans une revue scientifique. »
Des experts en éthique et en droit se penchent sur les éléments à prendre en compte avant de trancher.
Dans cette nouvelle chronique, je vous propose d’examiner divers enjeux universitaires sous un autre angle, en commençant par la relative normalité de la situation actuelle.
Bien qu’il soit plus fréquent que les hommes prennent un congé parental, les politiques et les mesures de soutien sont encore loin d’être adaptées aux pères.
Devant un comité de la Chambre des communes le mois dernier, des recteurs et des représentants du milieu universitaire ont souligné l’importance d’un soutien pour les étudiants étrangers et du maintien des fonds d’urgence pour la recherche.
Un plaidoyer pour l’intégration formelle et adéquate d’une éducation relative à l’environnement au sein des curriculums, et ce, du préscolaire à l’université.
Il est probable que le tsunami des travaux de recherche enclenchés par la pandémie de COVID-19 produise son lot de conflits reliés à la confidentialité des données de recherche ou à la propriété intellectuelle.
Il est impossible d’éliminer la bureaucratie, mais l’application de lignes directrices simples issues de pratiques exemplaires peut vraiment la réduire.
La COVID-19 a rendu le milieu universitaire très réactif, mais la recherche prend du temps.
Il faut une crise sans précédent comme celle que nous traversons pour bien saisir la nécessité de respecter les lois, non seulement par obligation, mais d’abord parce que c’est justifié et raisonnable, voire salutaire pour soi-même et pour tous.
L’« effet Trump », qui, selon de nombreux médias, devait pousser des flots d’étudiants étrangers vers le Canada, ne s’est pas fait ressentir.
Après plusieurs années de travail, l’université a reçu la reconnaissance officielle qu’elle est un établissement bilingue.
Les libéraux ont beau prétendre que « la science est au cœur de chaque action du gouvernement », seuls des gestes symboliques et un discours rassurant sont pour l’heure au rendez-vous.
De plus en plus d’établissements déclarent l’état d’urgence pour préparer personnel et étudiants à des temps plus difficiles.