Étudiants internationaux
Ce programme cible l’éducation et l’entrepreneuriat dans des pays francophones et du Commonwealth, avec un fort accent sur l’égalité des genres et le développement durable.
Malgré leur contribution économique, les personnes étudiantes provenant de l’étranger sont injustement stigmatisées au cœur des débats sur l’immigration et la crise du logement au Canada.
Après Ottawa, Québec souhaite également resserrer les conditions d’admission pour les étudiantes et étudiants internationaux. Les universités craignent une mauvaise application des pouvoirs que s’octroie le gouvernement Legault.
Les regroupements d’établissements postsecondaires jugent que « tout n’est pas noir » et accueillent favorablement la transparence du gouvernement quant à ses cibles des deux prochaines années.
Les universités canadiennes subissent de plein fouet les retombées de la gestion fédérale chaotique de l’admission des étudiantes et étudiants de l’international
Le programme Job Search Club de l’Université de Waterloo favorise la mise en place d’une communauté de soutien et facilite la recherche d’emploi grâce à des partenariats universitaires, de la recherche, des commentaires d’étudiantes et étudiants ainsi que des retours d’expérience.
Accroître l’accès à ces programmes et adopter de meilleures stratégies promotionnelles permettraient aux universités d’avoir un bassin de candidatures diversifié.
La nouvelle tarification des droits de scolarité au Québec soulève des débats sur l’égalité et l’internationalisation de la francophonie, mais puise sa légitimité de faits historiques.
En raison du plafond du nombre d’étudiantes étrangères et d’étudiants étrangers imposé récemment par le gouvernement fédéral, la province des Prairies sera désormais en concurrence avec les autres provinces pour puiser dans un bassin potentiel restreint.
Les établissements postsecondaires ontariens sont satisfaits de la manière dont la province a distribué son lot de permis d’études d’étudiant.e.s de l’étranger pour 2024.
Derniers avancements en ce qui concerne les lettres d’attestation pour les permis d’études.
Dans un nouvel environnement, les moments de « déconfirmation » risquent d’être nombreux.
Lors des conflits internationaux, les universités canadiennes se retrouvent à jongler avec la promotion de la libre expression, la protection de la liberté académique et la gestion des pressions externes.
Les universités craignent que le nouveau plafond imposé pour les permis d’études ne conduise à des réductions de programmes et à une hausse des droits de scolarité.
L’intégrité du système de recrutement des étudiant.e.s de l’étranger étant mise à mal, que peuvent faire les universités?
Le magasin est devenu une ressource précieuse, particulièrement pour la population étudiante provenant de l’étranger.
Nous devons être plus aptes à entrer en relation et à apprendre d’autrui tout en prenant en considération l’ensemble des complexités et déséquilibres de pouvoir.
Face à la montée en flèche du nombre d’étudiant.e.s provenant de l’étranger, on réclame des règles et des normes pour encadrer les pratiques de recrutement.
Le Programme canadien des bourses de la Francophonie cède sa place à une nouvelle formule de distribution de bourses internationales.
Les universités de langue française défavorisées par les processus d’octroi de permis aux étudiants internationaux.